Les livres suivants sont disponibles auprès des Amis de Han Ryner. Bien que leur publication soit ancienne, ce sont des livres neufs. Pour tous ces titres, on trouve sans trop de peine des exemplaires d'occasion sur les sites de vente de livres anciens, mais pour des sommes bien plus élevées.
Les prix sont donnés ici à titre indicatif. Attention : il faut ajouter les frais de port.
A noter : Les Amis de Han Ryner possèdent aussi quelques exemplaires d'occasion pour d'autres titres. Liste et prix sur demande.
Je rappelle que trois autres livres sont (peut-être) encore disponibles chez leurs éditeurs : Le Père Diogène (voir ici), Le Sphinx rouge et Dans le mortier (voir là).
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Ouvrages de Han Ryner
Amant ou tyran. Manuscrit attribué à Marie Dorval. A. Messein, 1938 (sous couverture de relais Le Pavillon Roger Maria). In-12 br., 160 p. - 7 €.
L'actrice Marie Dorval créa le rôle de Kitty Bell dans Chatterton, pièce qui apporta le succès à Vigny en 1835. Elle fut aussi l'amante du poète. Ryner imagine le récit de l'amour orageux de ces deux incorrigibles romantiques, rapporté deux ans après leur rupture par Marie Dorval elle-même. Une bonne évocation du monde du théâtre et une réflexion sur l'amour et la jalousie.
Contes. L'Amitié par le Livre, 1968. Dessin frontispice de Léo Hézarifend. In-8 br., 248 p. - 15 €.
Ce livre rassemble 36 contes inédits en volume, mais pour la plupart dispersés dans de nombreux périodiques. Retrouvés, sélectionnés et présentés par Louis Simon, ils sont répartis en quatre parties : Contes de Catalogne et de Provence, Contes prophétiques, Contes dramatiques et Contes sans malice. L'on pourra picorer, selon son humeur, du merveilleux ou du réaliste, de la bonté ou de la cruauté, du rire ou des larmes, de quoi penser et de quoi se divertir. Certains textes ne sont pas loin de la SF, d'autres relèvent de l'humour noir. Ce recueil ne ressemble à aucun des autres livres de Han Ryner.
Attention ! Plus que 4 exemplaires...
Esclaves (Les). Drame philosophique en un acte. Ed. de l'Idée Libre, 1925. In-16 br., 24 p. - 6 €.
Ce court drame se déroule sous l'empire romain, aux premiers temps du christianisme. Des esclaves, hommes et femmes, jeunes et vieux, s'entretiennent du désespoir de leur condition. Par la voix de Stalagmus, vieil esclave saisi de visions, Ryner oppose un pessimisme anarchiste radical à l'optimisme chrétien d'Agnès, jeune néophyte. Survient le maître. Stalagmus l'étrangle. Contrairement au jeune Géta, qui applaudit au tyrannicide, il sait l'inutilité de son geste, mais n'a plus rien à perdre. La fin de la pièce annonce un dénouement plus tragique encore.
Face au public. L'Amitié par le livre, 1948. In-12 br., 172 p. – 9 €.
Ce volume réunit le texte sténographié, le résumé ou le compte-rendu de 25 conférences prononcées entre 1901 et 1919. Han Ryner avait pensé diviser ce recueil en deux parties : "Parlons Littérature" et "Parlons Philosophie" ; le classement sera finalement chronologique. Côté littérature, on pourra lire des évocations critiques de Balzac, Verlaine, Jules Renard, Rosny aîné…, de Jacques Fréhel aussi, auteure peu connue et amante de Ryner. Cependant, même lorsque l'orateur "parle littérature", le philosophe n'est jamais loin : on trouvera ainsi une intéressante étude sur "La philosophie d'Ibsen" d'un point de vue individualiste. La philosophie propre de Ryner s'exprime en particulier dans "Contre les dogmes", où il expose son point de vue très original sur la métaphysique et la religion, rejetant aussi bien le dogmatisme catholique que le positivisme corseté de certains libres penseurs de l'époque. Chaque "causerie" est par ailleurs brièvement introduite par une présentation d'Han Ryner.
Individualisme dans l'Antiquité (L'). Histoire et critique.
→ voir ci-dessous Actes du colloque Han Ryner.
Jeanne d'Arc et sa mère. A. Messein, 1950 (sous couverture de relais Ed. du Pavillon, 1969). In-12 br., 210 p, E.O. – 7 €.
Han Ryner était intéressé par la manière dont les hommes déforment les faits pour construire l'Histoire et nombre de ses fictions ont pour objet des figures historiques. A ce titre, Jeanne d'Arc (récemment canonisée à l'époque) lui est une source d'inspiration importante : deux autres livres se rapportent à la sainte cuirassée, et Ryner fit plusieurs conférences à caractère anticlérical sur ce sujet. Dans ce roman, il imagine la fin de l'enfance et l'adolescence de la fringante pucelle jusqu'à son départ au combat. Si nombre de détails relève de la pure invention, une longue préface, qu'il vaut mieux lire après le récit lui-même, témoigne du sérieux de la documentation.
Jusqu'à l'âme. Drame moderne en deux actes. Ed. de l'Idée libre, 1925. In-16 br., 36 p. – 6 €.
Un père doit annoncer à son fils (Robert, 19 ans) qu'il n'est pas l'enfant biologique de sa mère. La mère de sang est en effet une mégère pleurnicheuse et insupportable. Le fiston, à force de patience et de délicatesse, parviendra à réconcilier tout ce petit monde. Au milieu des larmes et des bons sentiments, on pourra cependant entrevoir une curieuse conception du suicide teintée de métempsycose. Une pièce jouée en 1909 par - entre autres - le jeune Louis Jouvet.
Orgies sur la montagne (Les). Figuière, 1935. In-12 br., 222 p., E.O. – 15 €.
Dans la mythologie grecque, Orphée descendit aux Enfers pour retrouver son épouse Eurydice, tuée par un serpent. Sur le point de la ramener au monde des vivants, il commit l'erreur fatale et la belle lui fut arrachée pour toujours. Mais ce récit de Han Ryner évoque les amours plurales d'Orphée après cet épisode. Dans une lettre à son ami Louis Prat, l'auteur qualifie ce texte de "poème érotique". Prose érotique sans doute, car sur le fond, ce livre chante la volupté charnelle aux multiples formes, et cela avec une audace certaine, mais d'un érotisme bien singulier, car en matière de style, rarement l'on aura vu plus grave lyrisme. Un ouvrage très curieux, qui prend le risque de déplaire aussi bien aux puritains qu'aux amateurs de fredaines.
Attention ! Plus que 4 exemplaires...
Prenez-moi tous !. Ed. du Tambourin, 1930. In-12 br., 252 p., E.O. – 12 €.
Encore un Orphée, mais contemporain celui-ci. Cet Orphée se partageait entre plusieurs bacchantes dans L'Amour plural (1927). On retrouve tout ce beau monde, et quelques nouveaux venus, dans une assez grotesque "Fraternité d'Amour", mélange indigeste de camaraderie amoureuse et de Franc-Maçonnerie. C'est qu'à vouloir organiser, ritualiser l'amour libre, on finit par tuer l'amour aussi bien que la liberté. La teneur de ce livre n'est cependant pas complètement ironique, et Han Ryner y avance quelques idées audacieuses sur l'homosexualité, l'avortement...
Attention ! Plus que 8 exemplaires...
Rire du sage (Le), précédé de La Sagesse qui rit. Ed. Sésame, 1959 (sous couverture de relais Ed. du Pavillon et sous le titre Un Art de vivre, 1968). In-12 br., 286 p., E.O. pour le 1er titre – 13 €.
Ce volume reprend un ouvrage édité en 1928, La Sagesse qui rit, et le complète de sa seconde partie restée inédite jusqu'alors : Le Rire du sage. Il s'agit de l'exposé le plus complet de l'individualisme d'Han Ryner, qu'il appelle ici "subjectivisme". On trouvera dans le premier livre les fondements de son éthique, et dans le second les conséquences pratiques qu'il en tire.
Au menu de La Sagesse qui rit, donc, des considérations critiques sur les philosophies, antiques ou plus récentes, qui ont nourri la pensée de l'auteur, ainsi que des réflexions plus personnelles. Au chapitre "Rapports de l'Ethique avec la Métaphysique et la Sociologie", Ryner conclut à la nécessité de séparer nettement la première des secondes. Dans "L'objection déterministe", il tente une réconciliation d'un point de vue éthique du déterminisme et de la liberté.
Le Rire du sage s'intéresse à l'attitude du sage dans ses actes et face à la société. Ryner distingue la "société naturelle", ensemble idéal des individus qui s'entraident librement dans un intersubjectivité respectueuse, de la "société civile", groupement contraint où la fin n'est plus le bien-être de chacun, mais la servitude consentie à la cause des "idoles sociales" (l'Ordre, la Loi, la Patrie, la Race, la Couleur – de peau –, l'Opinion publique…). Un chapitre intitulé "Le régime du Subjectiviste" intéressera les végétariens et végétaliens : Ryner y fait part de sa sympathie pour ces modes de vie et de ses tentatives dans ce domaine.
Le livre indispensable pour qui s'intéresse à la pensée rynérienne.
Sillage parfumé (Le). Sésame, 1958, portraits hors texte (Jacques Fréhel et Han Ryner). In-12 br., 168 p., E.O. num. sur Alfa – 12 €.
Jacques Fréhel (de son vrai nom Alice Télot) fut le grand amour d'Han Ryner. Auteure elle-même de plusieurs ouvrages (Le Précurseur - voir plus bas, Déçue, Le Cabaret des larmes…), elle rencontra Ryner en 1899. Cette passion de l'âge mûr (tous deux sont nés en 1861) durera pas loin de vingt ans, dans une semi-clandestinité, jusqu'à la mort d'Alice, emportée par une congestion pulmonaire aux premiers jours de 1918. Celle-ci souhaitait qu'après sa disparition, Ryner dévoile publiquement cet amour trop longtemps caché. Il le fit dans une conférence qu'on peut lire dans Face au Public, et écrivit ce livre de souvenirs mêlés de très nombreuses citations des écrits de la femme de lettre.
Songes perdus. A. Messein, 1929 (sous couverture de relais Ed. du Pavillon). In-12 br., 236 p., E.O. – 7 €.
Au réveil, nous savons que la majorité de nos rêves nous ont échappé. Han Ryner imagine les "songes perdus" d'une trentaine de personnages historiques, des philosophes ou des penseurs pour la plupart. Des sages antiques (Socrate, Platon, Diogène …) à La Mettrie, Kant et Condorcet, en passant par Jésus, Judas et Saint Augustin, chacun est visité par les visions de son inconscient, qui le confirment en un rêve agréable dans son œuvre de pensée consciente, plus souvent le confrontent en une manière de cauchemar à ses incertitudes refoulées. L'un des meilleurs livres du conteur Han Ryner.
Soutane et le veston (La). A. Messein, 1932 (sous couverture de relais Le Pavillon Roger Maria). In-12 br., 200 p., E.O. – 7 €.
Han Ryner construit ce roman entre un début et une fin antisymétriques : deux personnages aux noms improbables échangeront leurs fonctions, et l'amour d'une femme. C'est ainsi que l'abbé Marie-Joseph de Sourdoulaud, ecclésiastique adepte du Secret de la Salette et des mortifications ascétiques, voit sa foi s'effriter jusqu'au renoncement à la prêtrise. En parallèle, Lucien Troussillet, libre penseur dogmatique aux pulsions masochistes, s'empêtre dans la logique et finit, pour retrouver un semblant de cohérence, par troquer le veston pour la soutane. Le récit permet à Ryner d'aborder la problématique des dogmes et de la religion. On pourra aussi lire au début du livre une description pittoresque des joutes oratoires qui étaient organisés à l'époque entre catholiques et anticléricaux, toujours dans la plus parfaite courtoisie.
Tour des peuples (La). Genève, Ed. du Mont Blanc, 1947. In-12 br., 191 p. Ex. num. – 10 €.
En une sorte de fresque proto-historique, Han Ryner réécrit le mythe de la tour de Babel. Une multitude de tribus venues du Moyen-Orient, d'Afrique, d'Asie et d'Europe se retrouvent dans la plaine de Sennaar, aux abords de l'Euphrate. Ils cherchent à concrétiser leur beau rêve de fraternité dans l'édification d'une tour qui symbolisera leur union. Mais l'Amour et la Justice érigés en dogmes finiront par dissoudre l'amour et la justice réels dans la discorde et le sang. Plus lucide que d'autres, le couple métissé formé par l'arya Riphat et Tel-Loh la chaldéenne échappera à la catastrophe. Ecrit en 1917, pendant la "Grande" guerre, ce roman est traversé par le pessimisme social de son auteur et son désespoir face à la folie guerrière. Les temps ont-ils vraiment changé, alors que les grands prêtres du culte rendu aux "idoles sociales" (Argent, Patrie, Idéologie, Religion...) prophétisent le "choc des civilisations" ?
Voyages de Psychodore (Les). Philosophe cynique. L'Homme et la vie, 1947. In-12 br., 176 p. – 7 €.
Han Ryner s'imagine un double fictif, le philosophe cynique Psychodore, voyageant dans des contrées oniriques, parmi des peuples au mœurs déroutantes, affrontant des situations étranges. En 28 étapes, qui sont autant de petits contes symboliques, Psychodore visite ainsi des pays peuplés d'hommes enracinés comme des arbres, de vivants qui naissent vieillards et meurent nourrissons, de bétail élevant des troupeaux d'humains, de nuages doués de paroles... et verra bien d'autres prodiges encore. Ces pérégrinations font bien sûr penser à d'autres illustres Voyages, ceux du Gulliver de Swift, qu'on peut aussi bien lire comme des aventures divertissantes que comme des symboles philosophiques. Ryner y fait passer tantôt des considérations éthiques, tantôt des rêveries métaphysiques. Si l'édition proposée ici a pâti des restrictions de l'immédiat après-guerre, il s'agit pourtant bien là du livre le plus fascinant de Han Ryner, assurément le plus connu, peut-être le plus beau...
Ouvrages sur Han Ryner
SIMON Louis. A la découverte d'Han Ryner.. L'homme, la pensée, l'œuvre. Le Pavillon, 1970. Préface de Jean Rostand. In-12 br., 176 p. – 12 €.
Louis Simon, beau-fils et hagiographe d'Han Ryner, n'a cessé d'agir pour que la mémoire et l'œuvre de ce penseur ne sombre pas dans l'oubli. On pourra parfois lui reprocher un certain manque de distance critique. Mais ce livre a le mérite d'offrir une bonne introduction à Ryner. Le découpage thématique permet de balayer assez complètement la vie du "Socrate contemporain" et de se faire une petite idée sur chacun de ses bouquins. Une bibliographie, une chronologie et un "bouquet d'opinions" de personnalités sur Ryner complète utilement le texte.
SIMON Louis. Un individualiste dans le social : Han Ryner. Ed. Syndicalistes, 1973. In-16 br., 144 p. – 9 €.
Bien que revendiquant un individualisme pessimiste quant à l'action sociale, Ryner a pris une part active dans la vie sociale de son époque, par sa collaboration à des revues pacifistes et progressistes, par sa participation au mouvement des universités populaires, par son engagement anticlérical, par son soutien à des essais de "communautés libres" et par l'aide à la défense de contestataires attaqués en justice (Sacco et Vanzetti, par exemple). Louis Simon fait le point sur ces actions et étudie sous cet angle la pensée rynérienne.
MAURELLE Joseph. La Mort de Han Ryner. Meudon, Ed. du Vieux Beffroi, 1954. In-12 br., 95 p. E.O. – 7 €.
L'idée de la mort hante l'œuvre de Ryner. Dans un livre paru en 1930, Crépuscules, il avait imaginé la mort de personnages de toutes les époques, terminant l'ouvrage par la sienne (sous le nom de "Polystès"). En 1938, la réalité rattrapa la fiction, et il se trouva un de ses amis, Joseph Maurelle, pour en faire le récit. Témoignage émouvant, très méditatif, mais d'une ferveur exacerbée qui met mal à l'aise le lecteur. Ce livre contient tout de même des informations intéressantes pour la biographie de Ryner.
Collectif. Actes du colloque Han Ryner, suivi de L'Individualisme dans l'Antiquité de Han Ryner, coédition Cira de Marseille / Les Amis de Han Ryner, 2003. In-8, 250 p.- 15 €.
Fin septembre 2002, s'est tenu à Marseille un colloque sur Han Ryner, organisé par le Cira local et les Amis de Han Ryner. Outre une présentation générale de la vie et de l'œuvre de Ryner, on trouvera dans ce livre des études assez pointues sur différentes facettes de l'individu : ses rapports avec le Félibrige, avec la Provence, son action pacifiste et anticléricale, sa conception de Jésus, la diffusion de ses idées en Espagne… Très intéressant aussi, le texte, de Ryner cette fois, sur l'individualisme dans l'antiquité : il s'agit d'une lecture individualiste de certaines philosophies antiques (les sophistes, Socrate, les cyrénaïques et épicuriens, les cyniques et stoïciens). Une petite synthèse très pédagogique, qui n'a rien perdu de son intérêt.
En savoir plus...
Cahiers des Amis de Han Ryner
Cette revue trimestrielle parut avec une belle régularité de 1946 à 1991, ce qui représente plus de 180 numéros d'une trentaine de pages, réalisation remarquable que l'on doit en grande partie aux efforts de Louis Simon.
De Han Ryner, on pourra y lire des textes inédits, des lettres, des notes de travail, des brouillons, des articles (philosophiques, politiques, critiques...) parus dans des journaux aujourd'hui introuvables.
Sur Han Ryner, on trouvera des souvenirs et des anecdotes de ceux qui l'ont connu, des textes de critique littéraire sur ses ouvrages, des réflexions sur sa pensée et son œuvre.
Les Cahiers des Amis de Han Ryner fourmillent en outre d'informations intéressantes sur la vie littéraire de la fin du XIXe et de la première moitié du XXe siècle, ainsi que sur les milieux pacifistes, anticléricaux et libertaires individualistes, les "amis de Han Ryner" venant d'horizons fort divers.
Une très utile "Table trentenaire" permet de rechercher rapidement une information dans les numéros des trente premières années. Le complément pour les 16 années manquantes est en préparation, mais il faudra encore être patient !
La collection complète est disponible, comprenant :
- Le N°1, mars 1939 (seul numéro paru avant-guerre)
- Nouvelle série, du n°1 (janvier-mars 1946) au n°180/181 (avril-septembre 1991)
- La Table trentenaire 1946-1975
Quelques rares numéros sont photocopiés. L'ensemble : 120 €.
Divers (Jacques Fréhel, Louis Simon et Georgette Ryner)
Certains ouvrages de Louis Simon et Georgette Ryner (respectivement gendre et fille de Han Ryner) sont disponibles, ainsi qu'un livre de Jacques Fréhel (pseud. Alice Télot), compagne de Ryner pendant une vingtaine d'années. Pour plus de précisions et connaître les prix, consulter les Amis de Han Ryner. Les couvertures sont visibles dans l'album "Etudes & Proches".
FREHEL Jacques :
Le Précurseur. L'Amitié par le Livre, 1979. Ill. de J.-C. Goossens. 240 p. Un phalanstère féminin en pays breton.
RYNER Georgette :
- Dans la ronde éternelle. Ed. de l'Idée Libre, 1926. 70 p. Poèmes en prose.
- L'Adolescente passionnée. L'Amitié par le Livre, 1968. 71 p. Récit plus ou moins autobiographique.
- Qui êtes-vous mes enfants ? Journal d'une maman. L'Amitié par le Livre, 1975. Frontispice de Léo Hezarifend. 150 p. Le titre parle de lui-même.
SIMON Louis :
- Dialogues sur l'avenir - Chers petits, qu'allez-vous devenir ?. L'Amitié par le Livre, 1977. 52 p. Dialogues imaginaires entre l'auteur, sa femme Georgette, son beau-père Han Ryner et quelques autres .
- le triptyque des Plurades : Multiples (Orphée, 1964, 92 p.), Traité des Plurades (Chambelland, 1973, 77 p.) et Intercalaires (Chambelland, 1976, 71 p.). Etranges poèmes cosmogoniques farcis de néologismes.
- Sur les exponentielles superposées. Librairie scientifique et technique Albert Blanchard, 1966. 40 p. Etudes mathématiques - L. Simon était professeur de mathématiques.