Double dose d'écrits rynériens cet hiver : après l'anthologie d'articles Comment te bats-tu ? constituant le n° 16 du Grognard, c'est la réédition du (célèbre) essai L'Individualisme dans l'Antiquité, suivi de la (fameuse) conférence Des diverses sortes d'Individualisme et précédé pour la circonstance d'un (laborieux) pensum pondu par bibi , le tout tenant sur 150 p. dans un petit mais fort joli format à l'italienne (somptueusement) mis en page par les (prestigieuses) éditions du Sandre.
Voici l'objet :
- L'Individualiste et l'Antiquité
Han Ryner (1861-1938), par C. Arnoult — p .7
[I. Philosophe ? — II. Fondation — III. Mutations — IV. Ecritures — V. Société(s) — VI. La Citadelle dans le Jardin]
- L'Individualisme dans l'Antiquité
(Histoire et Critique) — p. 41- Note préliminaire
- Introduction
- I. Les Sophistes
- II. Aristippe et les Cyrénaïques
- III. Epicure
- IV. Les Cyniques
- V. Les Stoïciens
- Note finale
- Des diverses sortes d'Individualisme — p. 123
Conférence prononcée le 10 décembre 1921, pour le dixième anniversaire de L'Idée Libre
En "quatrième de couverture" :
Lorsque Socrate dit : « Connais-toi toi-même », il veut que je me connaisse, non pas métaphysiquement, non pas dans mon essence, non pas dans ce qui est insaisissable, mais dans ce qui est saisissable il veut que je sache ce que je suis, ce que je veux et ce que je peux. La connaissance individualiste de moi-même comprend la double critique de ma volonté et de ma puissance.
H. R.
(C'est un extrait de Des diverses sortes d'Individualisme.)
Han Ryner, L'Individualisme dans l'Antiquité, suivi de Des diverses sortes d'Individualisme, préface de C. Arnoult, Editions du Sandre, 2010, 154 p., 16 euros, ISBN 978-2-35821-057-7.
J'allais oublier : Bonne année à toutes et à tous ! (J'aime les vœux pieux.)